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Logiciel de gestion
pour PME et TPE

Notre application chauffeur pour la maraude électronique le.taxi est désormais disponible ici

L’inscription des taxis dans un registre numérique devient obligatoire. Sous la tutelle du ministère chargé des transports, le lancement de Le.taxi est effectif. Il aura un rôle prépondérant dans le cadre de la maraude électronique. Elle est censée aider les clients en quête d’un taxi dans toutes les villes de France. 

Qu’est-ce que la Maraude électronique ?

La loi d’orientation des mobilités met en avant l’utilisation d’un registre numérique spécialement dédié pour les artisans de taxi. Si auparavant, le concept de Maraude électronique était uniquement appliqué dans le secteur du VTC. Les taxis sont désormais soumis à ce même principe. 

La maraude électronique consiste à réserver un taxi à l’aide d’une application mobile. Les clients trouveront ainsi des véhicules disponibles à proximité de leur positionnement géographique après l'accès à un registre des disponibilités des taxis appelés le Taxi. Il s’agit d’un API. 

L’outil développé par l'État permet de tout centraliser. Son lancement marque un tournant majeur dans la branche. Il permettra aux taxis de concurrencer les VTC. Son usage permettra aux taxis d’avoir des courses durant les horaires d’activités. Ils pourront d’autant récupérer une part de marché des VTC

Pour bénéficier de la prestation, les clients devront employer une application tierce agrée partenaire de le.taxi. Dans ce sens, l’application de confiance GESTAV permettra au taxi de recevoir les demandes des clients. 

Fonctionnement de la maraude électronique

Les applications mobiles servent à accéder au registre gratuit de le.taxi. Ce dernier fonctionne à la fois comme une base de données et un système de géolocalisation. Le client peut réserver une course via son smartphone. le.taxi renseigne les clients sur tous les taxis se retrouvant dans un rayon de 500 m ou à proximité. Ici, l’objectif est de garantir l’impartialité dans la phase de sélection. Le client est ensuite libre de contacter le chauffeur de son choix sur son écran. 

Les taxis sont uniquement considérés dans le répertoire s’ils remplissaient les conditions suivantes. Les chauffeurs doivent allumer leurs voyants verts. Puis, ils devront être dans leurs zones de stationnement ou ADS. Quand le conducteur entame une pause ou décide de ne pas prendre en charge des clients pendant quelques heures, il éteindra juste son dispositif lumineux. 

Le prix de la course est payé une fois à destination comme dans le service classique. Le client se réfèrera tout simplement aux indications du taximètre. 

Les frais d’approche ne s’appliquent pas lors d’une maraude électronique selon la législation en cours. L’élément financier augmente les coûts finaux d’une course. Il s’agit d’un forfait (frais financier) que les chauffeurs appliquent jusqu’à l’endroit de prélèvement du client. Dans cette situation précise, le conducteur activera son compteur depuis son point de départ. Il rejoint par exemple l’adresse du client en provenance de l’aéroport. 

Les obligations des parties

La maraude électronique marche de la même manière qu’un contrat. Elle engage les conducteurs à honorer les courses moyennant le paiement de sa facture. Les clients peuvent annuler la réservation à tout moment. Il peut d’autant supprimer sa commande durant la phase de prospection d’un chauffeur. Une notification est envoyée pour stipuler les états de la commande. Elle peut informer le client de l’enregistrement de sa réservation ou de l’annulation. 

Les conducteurs peuvent refuser la prise en charge des clients suivant l’article 2 du décret sur la loi d’orientation des mobilités. Plusieurs cas sont à mentionner pour aboutir à cette finalité. Il arrive que la personne soit susceptible de salir le véhicule. Elle peut encore transporter des animaux qui pourraient détériorer les chaises ou d’autres équipements du taxi. Ils sont aussi en droit de refuser la course pour des raisons de sécurité ou d’hygiène. La mention est déjà évoquée dans le code du transport. Mais la nouvelle législation reprend ce même point.